Dans cette formation, nous allons voir quels sont en quoi lâcher-prise est un élément important de performance. Il est aussi question des techniques à mettre en place pour trouver cet état de flow dans lequel les choses roulent toutes seules.

Pour vous donner un aperçu de ce que vous allez trouver dans ce cours, voici un bref résumé du contenu de la formation.

ACCEPTER POUR SE LIBERER

Tu constates parfois que les choses se bloquent ? Que ça devient plus dur, plus lourd, plus conflictuel ?

C’est sans doute que tu as besoin de lâcher sur quelque chose pour retrouver la fluidité du flow, quand tout coule de source et que tu n’as plus qu’à te laisser porter. Lâcher-prise, c’est arrêter de retenir, pour libérer, ouvrir, redonner le droit à l’autre d’être différent, accepter que les choses se fassent différemment de toi, changer de discours et de perception des choses. C’est aussi revenir dans l’instant présent, poser les valises du passé et faire confiance à ton environnement.

Une éducation basée sur l’axe Faire / Avoir
Si le lâcher-prise n’est pas si facile, c’est le fait d’une éducation basée sur un mode fonctionnel : l’axe Faire / Avoir. Dans cette dynamique, tu cherches à en faire de plus en plus, pour avoir de plus en plus et augmenter tes avoirs. C’est la course à la performance et à l’accumulation. Te voilà devenu.e un faire humain, une machine. Même si cet axe a toute son importance, tu n’en es pas moins un être humain qui fonctionne également sur un axe Être / Donner. Dans cette dimension émotionnelle, la qualité de la relation à l’autre et à ton environnement devient prépondérante.

Lâcher-prise, c’est faire de la place à la dimension
Être / Donner. Cette dimension verticale Être / Donner prend en compte la partie sensible de ton être, ce que tu vis et ressens, ici et maintenant. En tant qu’être, tu as besoin de rayonner. Tu comprends que les dimensions plaisir, qualité de vie, partage et don ouvrent le potentiel et les champs de compétences.

La pression de l’enjeu tue le jeu
Lorsque la relation à l’environnement se dégrade, le potentiel chute en même temps que le bien-être. L’enjeu auquel tu accordes trop d’importance ou que tu as peur de ne pas réussir génère une crispation, un blocage. Ce qui est justement le contraire du lâcher-prise qui, lui, appelle le flow, le relâchement.

Lien = relation
Pour entrer dans cette dimension de relâchement, il te faut créer une relation avec ton environnement et l’accroître. Plus tu renforces le lien, plus la relation est accessible. Tu peux, par exemple, prendre un peu de temps pour habiter l’environnement, pour créer du lien avec toutes les parties d’un lieu, pour écouter et comprendre l’autre. Ton cerveau intègre alors la relation et il est plus facile d’échanger. Si, à l’inverse, tu réduis le facteur d’échange, tu réduis ta capacité d’agir : tu penses que l’environnement est dangereux et tu te rétrécis.
Plus tu évolues vers le meilleur de toi-même, plus tu accèdes au lâcher-prise : tu acceptes qu’il y ait un monde entre le monde interne et le monde externe et que c’est dans la qualité de l’interaction entre les deux que tu peux t’ouvrir, te libérer et accéder à plus de potentialité.
Tu disposes de beaucoup de ressources internes pour t’aider à entrer dans une dimension d’acceptation et de confiance en ton environnement. Ce qui te rend plus souple face à lui et t’amène au lâcher-prise. Tous tes comportements de crispation ne sont, en fait, que des stratégies pour être aimé.e !

Plus tu acceptes que ton environnement te veut du bien, plus tu es dans le lâcher-prise…

Chronologie des cours:

Commentaires des cours:

Note moyenne 0
0 Ratings
Détails
5 Stars 0
4 Stars 0
3 Stars 0
2 Stars 0
1 Stars 0

Pas encore d'avis.